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Quelques conseils pour améliorer les modèles en métal vendus tout montés |
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Ci-dessus ce que j'ai obtenu à partir d'un modèle de Focke-Wulf 190 A au 1/100 provenant d'une série de modèles distribués « dans tous les bons marchands de journaux ». Certains points restent encore bien rustiques et je voudrais tout de suite prévenir : l'article ci-dessous vous propose des pistes d'amélioration ...mais l'on reste loin de la qualité et de la finesse d'un modèle plastique. Même les « Wing Club » de Bandai, pourtant à une échelle plus petite, sont mieux détaillés que ceux-ci. |
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Voilà ce que l'on vous vend initialement. Les décalques peuvent ou non être posés suivant les fabricants. Il s'agit généralement de grossiers stickers que vous aurez intérêt à oublier. |
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Le dessous n'est pas plus engageant (belles bombes rouges ! ) La gravure est lourde et les joints disgracieux. |
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La première étape c'est de tout démonter. Bombes et râtelier partent aux orties et on ne garde que la verrière (bien obligé...mais si vous maîtrisez le thermoformage vous avez intérêt à la surmouler) et l'hélice que l'on peut affiner sans risque. |
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Vu qu'il n'y avait aucun détail à récupérer j'ai choisi de tout poncer : le restant des décalques qui n'étaient pas partis (A) et les diverses coulures et surépaisseurs (B) . On peut toujours s'essayer à affiner les bords de fuite (dans la mesure du possible...c'est du métal en dessous ne l'oublions pas). |
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Le cockpit : ponçage supplémentaire (A ) pour améliorer le joint et réalisation de toutes pièce du caractéristique appui-tête du Fw 190 (B) |
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Les canons (A) et tube pitôt (B) sont refaits en étiré Contrail . Vu la forme particulière de leur logement il faut les plier puis les poncer comme illustré en C : en vert la section de l'aile et en jaune la tige ajoutée. |
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Quelques détails : le pilote, un retraité de chez Frog (seul assez petit pour rentrer) (A); plaque de blindage latérale car l'engin semblait être un « Sturmbock » casseur de Fortress surblindé (B) . Un nouveau râtelier à réservoir supplémentaire (C+D) sculpté dans la carte plastique et collé à la colle cyanoacrylate (attention aux doigts , aux yeux ….). Même l'affichage de la légende sur le socle (E) est à refaire ou au moins à enlever |
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Une première couche de peinture a fait apparaître quelques joints vraiment « moches » (A) que j'ai comblé au gel acrylique (ce qui évite le ponçage) |
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Après mise en peinture et exploration de la boite à rabiot pour y trouver des décalques adéquates (le 12 rouge n'est pas entièrement correct sur ce point : la photo de référence dans le « Focke Wulf 190 » de J-Y Lorant chez Docavia montre des chiffres arrondis...et peut-être entièrement noirs ???. Il faut aussi comme toujours enlever les auréoles postérieures à l'application des décalques (A) |
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Quelques retouches de peinture s'imposaient notamment pour éliminer les surépaisseurs consécutives au masquage de la bande jaune (A) et les salissures du moteur ont été reprises avec de la peinture très diluée appliquée au pinceau (B) et des poudres de pastel (C) |
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La délimitation de la gouverne de direction, totalement absente sur l'objet originale est suggérée par un fin trait de peinture gris-noir (A) et naturellement les gouvernes gravées subissent le même sort par souci de cohérence (B) |
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Le résultat final est loin de la perfection (l'aspect « tassé » est un effet de la photo) mais tout de même plus convaincant que le sujet initial. |
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Et voilà le résultat final ! |
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